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lundi 25 janvier 2016

M6 dans CAPITAL





NOUS DEVOILE



Comment survit le commerce de 


proximité.



Et comment justifie-il ses magouilles ?


Aidé en cela par son expert comptable


et ses  fournisseurs à 
 

l'aide de caisse enregistreuse équipée de


logiciel trompeur.


Il accuse, bien entendu, l'Etat qui le saignerait avec des 

Charges Sociales exorbitantes, qu'il ne paie jamais, puisqu'il 

nous les refacture systématiquement.

Alors que la vraie raison, c'est que ce commerce ou entreprise pêche d'un manque de clients solvables réguliers.

Dans ces conditions, tout le reste est à l'avenant, le « fait maison » est absolument intenable .

Restent seuls l'authenticité du sourire de la patronne et l'amabilité du patron !

Par contre, l'émission pose un problème car elle le désigne comme détenteur du cash… Un risque à ne pas négliger !

Que devient ce black ? il rémunère des petites mains, des heures supplémentaires, des fournisseurs complaisants, des petits secrets, des marchandises tombées du camion et ses vacances.

Seule consolation, il finira par payer de la TVA ailleurs.


Une vérité largement occultée depuis des lustres



Vivre sans mutuelle, n'est-il pas risqué ?



Faut-il obligatoirement souscrire une mutuelle quand on ne
bénéficie pas d’une complémentaire collective? 
Le calcul mérite d’être fait en tout cas.


Se passer de mutuelle?
Le pari peut sembler risqué à première vue, mais il ne l’est finalement pas tant que cela.
En effet, les gros risques de santé sont généralement pris en charge à 100% par la Sécurité sociale.
Elle rembourse en moyenne 91% des soins hospitaliers, 63% des soins de ville et 60% des biens médicaux.
Les assurances complémentaires, elles, ont globalement une intervention limitée : en 2013, selon l’Insee, elles ont assumé 13,8% des dépenses, alors que les ménages en ont supporté 8,8%. Si vous souffrez d’un cancer, du sida, d’un diabète important, la mutuelle ne sera donc quasiment d’aucun secours puisque tous vos soins seront assurés par la Sécurité sociale.

Les mutuelle généralement pas à la hauteur

A contrario, si vous devrez affronter des soins onéreux mal pris en charge par la Sécurité sociale : par exemple des implants dentaires , votre mutuelle ne sera généralement pas à la hauteur.
En effet, elles ne remboursent souvent rien pour ces soins dits "hors nomenclature", ou une toute petite partie de la dépense pour les contrats les plus hauts de gamme (rarement au-delà de 400 euros pour une dépense de 1.500 à 2.000 euros). Vous en serez donc de votre poche de plusieurs centaines d’euros, même avec une couverture très étendue.

Être gagnant en devenant son propre assureur

Les personnes qui ne bénéficient pas d’une complémentaire collective, payée en partie par l’employeur, ont donc tout intérêt à s’interroger sur l’opportunité de souscrire, ou non, un tel contrat à titre individuel.
Surtout si elles n’ont pas droit aux aides publiques telles que la CMU complémentaire ou l’aide à la complémentaire santé.
Si vous n’en avez pas, vous devrez faire face au ticket modérateur sur les soins courants (de 20 à 40% de la dépense chez des professionnels conventionnés), mais vous pourrez souvent les financer grâce aux sommes économisées grâce à l’absence de complémentaire.



C’est un calcul, qui était prévisible, mais il est vrai, qui méritait d’être fait et dit depuis longtemps.
Même les personnes qui n’ont pas une santé de fer peuvent être gagnantes en devenant leur propre assureur pour ces dépenses récurrentes, mais généralement peu élevées.
Évidemment, mieux vaut avoir un budget suffisant, qui vous permette en tout cas d’affronter une mauvaise série.
Si ce n’est pas le cas, la souscription d’une couverture complémentaire vous permettra de mieux maîtriser vos dépenses, quitte à payer plus que ce vous consommez réellement.
Eric Leroux du JDD


vendredi 22 janvier 2016

LA DEBACLE


La crise chinoise

plus dangereuse

que celle de 2008 ?





Nous assistons à la fois à une crise financière 
classique mais la finance ne fait que préfigurer 
généralement l'économie réelle
 
Elle annonce un ralentissement économique 
notamment en Chine.

Or depuis dix ans environ, la Chine à elle seule  
a contribuer entre 30 et 40 % a la croissance 
mondiale.

Si demain l'économie chinoise n'est plus au 
rendez-vous, on comprend que la croissance 
mondiale va s'effondrer.


Toutefois je ne suis pas trop inquiet pour la Chine qui va résister car elle a des moyens d'y parvenir.
Pékin baisse ses taux d'intérêt, déprécie sa devise, dispose de plus de 3 500 milliards de dollars de réserves de change.
C'est plus que le PIB allemand et La Chine peut les utiliser pour relancer son économie.
Cette crise est-elle inquiétante pour l'Europe et la France ?
Ce qui est inquiétant, c'est que ni l'Europe ni la France n'ont plus aucune marge de manœuvre en cas de tempête financière pour relancer leur économie.

En Europe, nous n'avons plus de cartouches à utiliser.

Si nos 360 millions de prospects
Cette crise peut s'avérer même plus dangereuse qu'en 2008 lors de la faillite de Lehman Brothers. à l'époque, les économies occidentales ont pu baisser les taux, faire de la relance budgétaire. Aujourd'hui, on a tout utilisé, donc il ne nous reste plus rien !
Des  ux d'intérêt sont déjà à zéro alors que le poids de la dette publique empêchera toute relance budgétaire.
Il faut s'attendre à un premier semestre 2016 très difficile.
Les Capitalo-Liberaux- Débridées trouverons toujours une solution pour relancer la pompe a fric.

D'après un texte de Marc Touati

jeudi 21 janvier 2016

Macron pue !




«La vie d'un entrepreneur 


est bien plus dure que 


celle d'un salarié».



Devrons nous démontrer 


l'absurdité de tels propos .


Tenus par notre ministre de


l'économie ?

 

A priori non. 

 

D'abord être patron est un choix personnel… Et 

pas très dangereux, c'est comme jouer au 

casino.

Et un créateur de richesses, peut assurer tous 

les risques qu'il prend !

Son incompétence n'est jamais mise en cause, 

exceptée en cas d'accident du travail ou d'abus 

de biens sociaux.


Parlons des risques mortels de salarié,poussé à 

devenir patron pour survivre : sans fonds 

propres et sans assistance correcte d'expert ( 

obligatoire dans ce métier à risque ).


Un patron c'est :

Une espérance de vie dans la moyenne haute.

Un risque de maladie professionnelle très faible.

Des revenus bien plus élevés que les autres.

Un risque de surendettement le plus faible de la population.


mercredi 20 janvier 2016

Le taux de chômage des champions du plein d'emploi de UE est faux





L'Europe, régnerait dans l'éden

du plein emploi,

obtenu au moyen de réformes 

salvatrices.



Il est de bon ton de considérer que le plan 

d'urgence pour l'emploi de François Hollande 

tient du bricolage,

de l'addition de mesures de traitement social 

du chômage, pour simplement extraire des 

chômeurs du marché du travail, afin de les 

sortir des statistiques.


C'est FAUX

De fait, les écarts de taux de chômage sont importants : le 
chômage touchait en novembre 4,5% de la population active 
en Allemagne, selon Eurostat, 5,2% au Royaume Uni, et.... 
10,1% en France (données corrigées des variations 
saisonnières).



Ce « story telling » abondamment repris par nombre de commentateurs, ne correspond pas vraiment à la réalité, à en croire Olivier Passet, économiste chez Xerfi, qui a étudié la question de l'emploi en Europe.

« En fait, en additionnant les mesures, en tentant par exemple de relancer l'apprentissage, François Hollande s'inspire des exemples étrangers» affirme-t-il.

Dans ces pays souvent cités, qui affichent des taux de chômage très faibles, les jeunes « galèrent » tout autant ou presque qu'en France.

La différence, c'est qu'ils trouvent plus souvent des « mini jobs ».
Le graphique ci-dessous montre la montée en puissance de la part des temps partiels courts, aux Pays Bas, Royaume Uni et Allemagne.
En France, au contraire, leur part dans l'emploi reste faible. 
 
Ces temps partiels représentent une bonne approximation des mini jobs et autres contrats d'autoentrepreneur. « Le fractionnement des jobs est un bon moyen de doper le taux d'emploi », souligne Olivier Passet. 
 
Temps partiel court (moins de 20h hebdo) en % de l'emploi total

Si l'on considère la seule catégorie des jeunes, le constat est encore plus frappant. 60% des jeunes en emploi aux Pays Bas ont signé un contrat de moins de 20 heures par semaine, comme on le voit sur le graphique ci dessous. 24,2% au Royaume Uni, et 17% en Allemagne. En revanche, en France, seuls 9% des jeunes en emploi ont des postes à temps partiel.
Temps partiel court (moins de 20 heures hebdo) en % de l'emploi des jeunes
en % de l'emploi des 15-24 ans  source: OCDE



Si l'on considère maintenant le taux d'emploi court, c'est à dire la proportion d'une tranche d'âge -toutes personnes confondues- employée sur un contrat de moins de 20 heures par semaine, le constat se confirme. 
 
Notamment pour le Royaume-Uni, où une part très importante de la population des 15-64 ans se trouve bloquée sur ce type de contrat, notamment parce qu'ils sont largement détaxés.

 Taux d'emploi court (moins de 20h hebdo) pour les 15-64 ans


"Plus généralement, les écarts de taux d'emploi global entre ces pays s'expliquent donc largement par le recours ou non au temps partiel" relève Olivier Passet. 
 
Autrement dit, le taux de chômage dépend de l'abondance de ces contrats courts. 
 

En France, seules 3,8% des personnes âgées de 15 à 64 ans sont donc employées dans le cadre de contrats de de 20 heures par mois, soit trois fois moins qu'en Grande-Bretagne .


 Taux d'emploi court (moins de 20 h hebdo) pour les 15-24 ans


 S'agissant des jeunes, les écarts se confirment également. Seuls 2,5% des 15-24 ans en France se trouvent en emploi courts (le plupart sont lycées, étudiants, ou chômeurs...). Au Royaume Uni, ils sont cinq fois plus nombreux.

Faut-il mieux avoir un ou deux jobs à temps très partiel, mal rémunérés, qu'être au chômage?

Là est toute la question... et le choix différent fait par la France.

mardi 12 janvier 2016

Dépenses publiques


 

 

les Sages tancent l'exécutif



Le premier président de la Cour des comptes 

Didier Migaud a appelé aujourd'hui à maîtriser 

les dépenses publiques, malgré les mesures 

annoncées après les attentats du 13 novembre, 

afin de "préserver" la capacité de la France à "

faire des choix souverains".


"Les circonstances exceptionnelles que nous vivons ont 

révélé plus fortement encore qu'auparavant la nécessité 

pour notre pays de préserver sa capacité à anticiper les 

menaces et y faire face", a déclaré Didier Migaud, à 

l'occasion de l'audience solennelle de rentrée de la Cour des 
comptes.


 Or, "la capacité de la France à procéder à des choix souverains de politique publique (...) reste entravée par la situation des finances publiques", a ajouté l'ancien député socialiste, en présence de la ministre de la Justice Christiane Taubira et du secrétaire d'Etat au Budget Christian Eckert.

"Les pouvoirs publics doivent attacher beaucoup plus d'importance aux résultats de l'action publique.

Ils doivent s'assurer de l'efficacité et de l'efficience des moyens mobilisés, avant même de penser à allouer des crédits supplémentaires", a estimé Didier Migaud. 

"Si l'on estime nécessaire d' augmenter les effectifs des forces de sécurité
 Il ne faut pas se dispenser de chercher à améliorer leur organisation et leur fonctionnement", a-t-il ajouté, en assurant qu'il y a des "marges d'amélioration" existants, "à crédits constants".

Mais Mr MIGAUD tous les salaires font le CA des commercants et des entreprises et qui embauches a leurs tour… c'est une chaine !!!

Présidentiel 2017




PRIMAIRES A GAUCHE



Un enterrement de première classe pour cette 

gauche...Aveugle ou sourde!!!


Dans le contexte actuel d'une droitisation 

quasi majoritaire de nos concitoyens.


Toutes les gauches dans l'EU sont en recul, la création d'un 

parti démocratique et progressiste pourrait encore peut être 

faire un score honorable, qui lui permettrait de participer 

dans une majorité de combat, si la Chine nous en laisse le 

temps avant l’avènement d'un 4ieme Reich européen.

JUSTICE ET ORDRE



Improbable Droite

 de justice et d'ordre


Une proposition de loi, déposée lundi par le 
sénateur « Les Républicains » Alain Fouché, 
vise à ne plus sanctionner d’une amende les 
excès de vitesse inférieurs à 10 km/h, mais à 
réserver à cette infraction un simple retrait de 
points.


Le texte entend «faire une distinction entre les excès de 
vitesse compris entre 10 et 20 km/h, qui continueraient à 
constituer une contravention pénale et resteraient 
sanctionnés par une amende (...) et le retrait de points du 
permis de conduire, et les dépassements inférieurs à 10 
km/h, pour lesquels l’unique sanction serait administrative».


l’exposé des motifs.
Un conducteur en infraction se verrait ainsi simplement retirer un point sur le permis, précise la proposition de loi du sénateur de la Vienne, qui entend «introduire davantage d’équité» dans la répression des petits dépassements.
Le texte note que «le contrôle automatisé est devenu une véritable source de recettes pour l’Etat», avec en 2014 des recettes de 672 millions d’euros pour les «seules amendes forfaitaires» liées aux radars automatiques.
Tout en soulignant que le développement des radars et la tolérance zéro ont démontré leur efficacité en terme de sécurité routière, il relève «une remise en cause par les usagers de ce système de contrôle-sanction automatisé, ressenti comme un moyen mis en place par l’Etat pour financer les dépenses publiques».
Le texte vise ainsi à obtenir l’adhésion des automobilistes «à l’idée que les radars ne sont pas seulement des +tirelires+, mais avant tout un véritable outil de sécurité routière».
Selon le délégué général de l’association «40 millions d’automobilistes», Pierre Chasseray, qui soutient cette proposition, «90 à 95% des excès de vitesse sont des excès de 0 à 20 km/h».
«Entre 0 et 10 km/h, ça peut être quelqu’un qui se fait flasher en bas d’une descente ou se fait surprendre sur un changement de limitation de vitesse sur autoroute».
A l’heure actuelle, un excès de vitesse inférieur à 20 km/h dans une zone où la limitation est de plus de 50 km/h est soumis à une amende forfaitaire de 68 euros (minorée à 45 euros si payée dans les 15 jours) et au retrait d’un point sur le permis. Si la vitesse est limitée à 50 km/h ou moins, l’amende est de 135 euros (90 euros si payée dans les 15 jours).

dimanche 10 janvier 2016

L'AVENEMENT d'un 4ième Reich





Selon l'Institut CVIPOF



Le vote FN au sein des trois 

fonctions publiques s’est accéléré,

La progression est 

particulièrement 

marquée chez les policiers et 

les militaires.


Les intentions de vote fin 2015 y atteignent 
51,5%, contre environ 30% en 2012.
30 % était déjà inquiétante, mais contrôlable...
Sur Twitter, plusieurs cadres FN ou proches du 
parti se félicitent de ces scores.


On les comprend... Avec 50 % cette proximité 
va leur permettre d'accéder à l'ensemble des 
fichiers de la sécurité nationale et 
d'informations ultra sensibles.

Cela va devenir inquiétant pour nos libertés et 
notre démocratie avec ce parti fascisant et 
l’avènement d'une nouvelle solution finale !!!

mardi 5 janvier 2016

Plan Marshall pour la formation




500000 chômeurs de longues 


durées


en formation en 2016



nous a promis le Président de la 


République.



Cela devrait nous coûter

1 Milliard d'€uros



Les micros formations de 150 heures de ANPE disparaissent 

et sont remplacées par des formations qualifiantes de 300 à 

500 heures (soit de 10 a 15 semaines ).


1 milliard € / 500000 chômeurs = 2000 € par personne .

2000 € / 400h = 5 € de l'heure… pour des formations 

qualifiantes (Il faut renvoyer les conseillers du Président à 

l'école) !

Il va falloir trouver des locaux et des intervenants pour 

50000 sessions de stage .

C'est déjà sortir du chômage 50000 intervenants… des 

seniors payés combien ? !

dimanche 3 janvier 2016

JUPPE PRESIDENT




Alain Juppé


"La France est en guerre.

N'ayons pas peur du mot…"

C'est ainsi que débute la longue introduction

 de 36 pages du livre (Pour un État fort)

 que publie Alain Juppé mercredi. 

Une introduction que le maire de Bordeaux a 

rédigée au lendemain des attentats de 
novembre.


Armée, justice, police, immigration, rôle d'un État à la fois vital et obèse : tout est passé en revue.

Puisque "guerre" il y a, voici que surgit : "Être Français, qu'est-ce que cela signifie au fond, au-delà du passeport, de la carte d'identité ?

Une sorte d'hymne à la France. 
 
Un hymne au ton inattendu, mais obligé, dans la bouche de cet homme aussi pudique ( marketing politique oblige).
Le mot est lâché : identité (c'est Juppé, ici, qui parle, pas Sarkozy, c'est le seul, qui naguère, avait le premier posé cette question).
Il lui était presque tabou comme à beaucoup d'autres qui hésitaient à le prononcer, sous prétexte qu'il aurait une connotation conservatrice, presque réactionnaire.
J'ai moi-même tiqué [sic] lorsque, il y a quelques années, on a voulu en faire un sujet de clivage politique. C'est un beau concept (qui recueille plus de 90 % d'adhésions de nos compatriotes) qui aujourd'hui, mérite définition"…
L'ancien Premier ministre, pour une fois, se laisse aller au lieu de rester calé dans ses bottes : "Ma France, c'est d'abord ma terre, la terre de mes pères que bien d'autres Français ne peuvent revendiquer... ma patrie !
Et d'invoquer, lui, le laïc revendiqué, "les racines chrétiennes" du pays.
Ce livre marque, de la part du maire de Bordeaux, une triple inflexion. 
 
D'abord, Juppé s'installe à droite. Franchement à droite. Il aura de la concurrence( il n'a pas d'autres choix). 
 
Ensuite, Juppé se montre extrêmement sévère quand il évoque les choix ou les non-choix du tandem ­Hollande-Valls : N'est-il pas à priori "hostile" à la prolongation de l'état d'urgence, qu'il tient en revanche pour un "coup politique" du président Hollande dans le dossier de la déchéance de nationalité.
Il présente comme un "désastre absolu" la non-reconduite à la frontière de tant de déboutés du droit d'asile (quel euphémisme pour cet ancien Premier Ministre qui n'a pas pu lui aussi la faire exécuter en son temps).
Enfin, sur le terrain de la sécurité, préempté par Nicolas Sarkozy, Juppé choisit la fermeté, le tour de vis, presque le poing sur la table.
Comme il illustre son plaidoyer pour un durcissement des conditions du regroupement familial, le rétablissement des peines planchers ou la construction de 10.000 places de prison, et sa mise en cause des "abus scandaleux" auxquels donne lieu, dit-il, l'aide médicale de l'État ( Ou va-il trouver les 10 circonscriptions qui veulent une prison sur leur communes ?
(Assumera-t-il la première épidémie causée par une maladie d'un migrant à qui on aura refusé de vacciner ou de soigner?).
Avec son livre, Alain Juppé ouvre la séquence clé dans laquelle chacun des candidats déclarés ou potentiels à la primaire de la droite et du centre va devoir mettre cartes sur table : que faire pour que le pays, défié par les terroristes et enlisé dans un chômage de masse, ne ressemble plus à une société bloquée?
Lui dévoile aujourd'hui sa part de vérité, comme dans une course cycliste sur piste, prendre la tête a ses inconvénients !
Dans sa roue, ceux qui sont décidés à le coiffer sur la ligne, savent maintenant jusqu'où il est prêt à aller, et sur quel ton.
D'après un texte de Dominique de Montvalon.