Powered By Blogger

lundi 1 décembre 2014

Nos pauvres petits et vieux créateurs de richesse paniquent...





Les petits patrons français

signifient leur ras-le-bol de la politique

CAPITALO-LIBERALE DEBRIDEE

de l'économie.



les petits patrons français seront mobilisés toute la semaine contre 30 années d’une politique capitalo-libérale débridée de l’économie largement promue et valorisée par le grand capital .



Si les organisations patronales que sont la CGPME et l’UPA (union professionnelle artisanales) sont unies sur le fond de la mobilisation, le MEDEF a choisi une forme différente d'action, (elles représentent tout le système banque/assurance de notre pays).
Les petites et moyennes entreprises (CGPME) appellent à des manifestations de rue ce lundi, l’UPA va publier une lettre ouverte à François Hollande, tandis que le Medef lance des réunions de militants et une campagne sur les réseaux sociaux.


«Notre modèle économique va mal.


Elle est bridée par 30 années de dogmes économiques successifs qui ont progressivement étouffé les petites entreprises par une accumulation de charges, de contraintes, de taxes et de sanctions», qu’ils ne veulent surtout pas politiser (sic).
«Il y a une exaspération des chefs d’entreprise et une souffrance face à une situation économique très difficile, qui pointent: «Le compte pénibilité, l’interdiction d’embaucher quelqu’un moins de 24 heures par semaine et l’obligation d’informer les salariés en cas de cession d’entreprise». 
Le coût annuel du compte pénibilité sera compris entre 500 et 600 euros par salarié, qu’il soit ou non concerné par le dispositif, selon une enquête réalisée par l’UIMM .
La baisse d’activité depuis le premier trimestre 2012»
une angoisse de l’avenir chez nos chefs d’entreprise, qui ont mis une part mineure de leurs propres deniers et le reste à crédit pour créer l’entreprise et verront une part de leurs biens disparaître faute de repreneurs solvables, sans avoir su organiser et se payer leur sécurité, grâce à une assurance chômage collective et solidaire .



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire