vendredi 29 mars 2013
Pour les nouveaux PIGEONS
Reçu par la
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journaliste économique Eric LEWIN nous offre de devenir RICHES.
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jeudi 28 mars 2013
GONFLES les PATRONS
Comment 9/10 de nos entrepreneurs
capitalo-Liberal Débridés
peuvent-ils être très pessimistes
pour les performances avenir de l'économie
française, alors qu'ils en sont les moteurs,
ou est l'Erreur !!!
mercredi 27 mars 2013
une crise mineur
QUAND VERRA-T-ON 1.6 MILLIONS
DE MANIFESTANTS CONTRE
L’AUSTÉRITÉ ET LE CHÔMAGE A
PARIS
?
vendredi 22 mars 2013
La dictature du sexe.
Dit faible !!!
Des hommes
sur un simple coup de téléphone d'une femme à la police, et
l’homme est en prison, perd son domicile, sa voiture, l’usage de
son compte en banque.
« Il y a une sorte de folie dans la loi, qui génère de l’abus, l’élimination de l’administration de preuves pendant la procédure et l’absence de présomption d’innocence ».
S’agit-il de procédure contre des terroristes ? Non : il s’agit des lois de genre et de l’application du droit de visite des pères, soumis aux dictas de « POINT RENCONTRE »
Qui n'ont toujours pas d'existence légale, mais avec des prérogatives de sanctions octroyé par le juge !!!
L’exercice de juge aux affaires familiales est devenu une profession à haut risque si vous ne vous soumettez pas au lobby féministe.
Il y a un trop grand pouvoir mis entre les mains des victimes femmes avec les lois de genre, avec atteinte d’égalité et de justice.
60% des quelques 100 000 plaintes pour violences domestiques et agressions sexuelles sur conjoint en instance de séparation sont fausses et elles font des victimes ( grands-parents, parents, enfants touchés par ce cauchemar).
Les lois de genres considèrent que l’homme est forcément, automatiquement coupable en cas d’accusation, sans preuve, et qu’il l’est parce en raison de la supercherie nommée domination masculine.
Ces lois passent pour légitimes dans un contexte de lavage de cerveau féministe, de contamination générale de la société par des mensonges maintenant bien connus.
On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. De telles lois discriminantes tuent la démocratie.
On a connu les lois racistes, qui semblaient normales à une époque.
Les lois contre les juifs ne choquaient personne.
Aujourd’hui ce sont les lois contre les hommes.
Simplement parce qu’ils sont des hommes.
Ces lois, issues du lobby féministe et votées par des politiciens opportunistes et lâches, sont une honte.
En l’état, tant qu’elles n’auront pas été purement et simplement abrogées, il faut considérer qu’il n’y a plus de démocratie et que le féminisme est une dictature.
Des soit disant victimes on avoué avoir menti, accusant leur père , grand-père ou frère de viol.
Ils ont passé de nombreuses années de prison avant des aveux de mensonges.
Les menteurs ne seront pas poursuivis.
Selon les lobby, c’est pour ne pas décourager les victimes de viol à déposer des plaintes !
Que l’on ait détruit la vie d’un homme, x années de prison pour rien, n’est visiblement pas important.
Ce sont des cas parmi beaucoup d'autres.
De plus en plus d’hommes et de pères sont touchés par cette violence pénale et légale, par cette société à deux vitesses.
Faudra-t-il
une révolution masculine pour faire cesser cette situation ?
A sentir la
révolte qui monte et le matraquage féministe continu, c’est
probable.
Il faudrait
d’ailleurs faire une étude pour chercher le lien éventuel, hormis
l'alcool, entre la répression contre les hommes et la violence que
certains d'entre eux (1-2%) exercent contre des femmes.
mardi 19 mars 2013
Les médicaments ne sont pas une simple marchandise
80 % des matières premières utilisées pour fabriquer des médicaments dans UE viennent d'Asie.
Une situation
qui inquiète l'Académie de pharmacie non seulement par les risques
de dépendance accrus, mais aussi par la perte de savoir-faire
industriel que cela traduit.
41% des
inspections réalisées sur des sites de fabrication hors Europe par
les inspecteurs de la Direction européenne de la qualité du
médicament s'étaient avérées non conforme.
Sans oublier que
les sites inspectés sont volontaires, donc engagés dans une
évidente démarche qualité.
Il existe en Chine plus de 5 000 sites, sans compter les sous-traitants.
lundi 18 mars 2013
Le nouvel arbre à abattre
LE
CODE DU TRAVAIL
Le Code du
TRAVAIL n'est pas l'ennemi des entreprises, il n'est que la
recopilation des décisions de justice qui ont fait JURISPRUDENCE
sur des pratiques, des comportements douteux, des arnaques et des
magouilles de Chefs d'entreprise à l'encontre des salariés depuis
plus de 60 ans.
Ces nombreuses
pages tiennent aujourd'hui sur un CD accompagné d'un logiciel expert
qui facilite toute consultation.
Tout
entrepreneur a un EXPERT COMPTABLE, il devrait en être équipé, il
devrait avoir un devoir de Conseil et les erreurs de procédure ne
devraient plus exister !
Tout
entrepreneur a à sa disposition des syndicats professionnels qui
prodiguent pour des cotisations annuelles modiques des conseils en
tout genre, qui l'informe régulièrement via un média papier ou un
site internet sur ses devoirs et ses droits...
Je rappelle
que ces organisations Syndicales ont Deux sièges sur Quatre au sein
de la chambre qui le juge, qu'elles l'accompagne et le défende.
Il y a les «
je sais tout » , les « Je m'en moque » et les
« anti-état » pour qui on ne peut rien ! et qui
sont hélàs ! toujours trop nombreux.
AUX
PRUD'HOMMES, en première instance pour qu'un patron soit condamné,
il faut qu'un juge patron ait reconnu LA FAUTE DE L'EMPLOYEUR!
samedi 16 mars 2013
PS encore une expression manqué
Nos élites qui crachent sur la France
M TAYLOR aura involontairement réussi à mettre à nu la formidable hypocrisie d'une partie de l'élite française.
Car le «Grizzly
de l'Illinois», aussi balourd soit-il, n'aura fait que dire tout
haut ce que l'on dit mezza voce dans les salons parisiens.
Qu'a dit la patronne du Medef, chef de file de l'élite économique de notre beau pays ? La lettre de M. Taylor est certes «inacceptable» (service minimum obligatoire pour ne pas perdre la face), mais, «par cette façon très provocante de dire les choses», l'homme d'affaires américain «met en avant des anomalies et des dysfonctionnements que nous devons corriger». Et voilà le travail, si l'on ose dire : ce qu'écrit M. Taylor, c'est mal, mais, sur le fond, il a raison !
Qu'a dit la patronne du Medef, chef de file de l'élite économique de notre beau pays ? La lettre de M. Taylor est certes «inacceptable» (service minimum obligatoire pour ne pas perdre la face), mais, «par cette façon très provocante de dire les choses», l'homme d'affaires américain «met en avant des anomalies et des dysfonctionnements que nous devons corriger». Et voilà le travail, si l'on ose dire : ce qu'écrit M. Taylor, c'est mal, mais, sur le fond, il a raison !
Patriotisme en berne
Ne jurant que par le dieu Marché, le monde politico-médiatique a repris ce raisonnement à la virgule près, sans qu'il soit besoin de lui fournir les éléments de langage.
Facile : c'est
exactement ce qu'il pense. De Valérie Pécresse, ex-ministre du
Budget de Nicolas Sarkozy, à Dominique Seux, chroniqueur économique
au journal les Echos et à France Inter, en passant par quelques
étoiles de moindre éclat, le même refrain binaire repris en chœur
: non, on ne peut pas parler comme Maurice Taylor ; oui, on doit
reconnaître qu'il n'a pas tort.
Anecdote symbolique : le Monde, pour rendre compte de l'échange épistolaire entre Maurice Taylor et Arnaud Montebourg, a fort symboliquement titré en une sur la «surenchère» présumée du ministre face aux «outrances» du patron. Comme si leurs propos étaient sur un pied d'égalité, comme s'ils se valaient.
Il en est ainsi parce que ceux qui ne jurent que par le modèle allemand les jours pairs et par le modèle anglo-saxon les jours impairs ont perdu tout sens de la mesure, sinon des réalités.
Anecdote symbolique : le Monde, pour rendre compte de l'échange épistolaire entre Maurice Taylor et Arnaud Montebourg, a fort symboliquement titré en une sur la «surenchère» présumée du ministre face aux «outrances» du patron. Comme si leurs propos étaient sur un pied d'égalité, comme s'ils se valaient.
Il en est ainsi parce que ceux qui ne jurent que par le modèle allemand les jours pairs et par le modèle anglo-saxon les jours impairs ont perdu tout sens de la mesure, sinon des réalités.
Désormais, le
patriotisme est une valeur en berne dans les beaux quartiers.
La francophobie
se porte en sautoir, surtout depuis que la gauche est aux affaires.
Si le terme
n'était pas aussi connoté par l'histoire, on pourrait presque
parler d'anti-France.
Evitons-nous de
mauvais procès et prenons plutôt quelques exemples.
Chaque semaine, Franz-Olivier Giesbert, directeur de notre excellent confrère le Point, pourfend, à juste titre, les gouvernements de droite comme de gauche qui, pendant trente ans, ont laissé filer les déficits publics, creusé la dette et aliéné une partie de notre souveraineté.
Chaque semaine, Franz-Olivier Giesbert, directeur de notre excellent confrère le Point, pourfend, à juste titre, les gouvernements de droite comme de gauche qui, pendant trente ans, ont laissé filer les déficits publics, creusé la dette et aliéné une partie de notre souveraineté.
A-t-il a raison ?
Mais, ce faisant,
nombre de ses éditoriaux se résument au raisonnement suivant :
sachant que, premièrement, la France est nulle ; que, deuxièmement,
la France est nulle ; que, troisièmement, la France est nulle ; on
peut en déduire que... la France est nulle.
FOG tire ainsi à boulets rouges sur «le prétendu modèle français» et dénonce le «déni français» défini comme «un mélange d'isolationnisme, de repli sur soi et de complexe de supériorité, les trois matrices du déclin».
FOG tire ainsi à boulets rouges sur «le prétendu modèle français» et dénonce le «déni français» défini comme «un mélange d'isolationnisme, de repli sur soi et de complexe de supériorité, les trois matrices du déclin».
Au terme d'un
looping intellectuel de haute volée, il va même jusqu'à y voir la
marque de «ce qu'on pourrait
appeler la xénophobie bien-pensante puisqu'elle est souvent de
gauche» (sic).
Quelques jours
plus tôt, à propos de la situation économique, il condamnait
«l'autisme français» qui
conduit à refuser «les vraies
solutions mises en œuvre chez la plupart de nos voisins».
Saluant
l'approche commune au Medef et à la CFDT, il poursuivait : «C'est
encore cet autisme français qui, cadenassant le pays dans
l'archaïsme, l'a jusqu'à présent empêché d'accepter les
solutions qui s'imposent en matière de compétitivité ou d'emploi.»
Et de désigner
d'un doigt accusateur cette «île» qu'est devenue la France
«protégée par une ceinture de
lignes Maginot».
Huit jours plus
tôt, faisant écho à son chroniqueur économique, Nicolas Baverez,
il fustigeait le «mal français»
et «la tradition française de la
peur et de l'évitement»...
Christophe Barbier, son alter ego de l'Express, est aussi constant dans l'art de viser des cibles identiques.
Christophe Barbier, son alter ego de l'Express, est aussi constant dans l'art de viser des cibles identiques.
Evoque-t-il
Florange qu'il dénonce un pays où «en chaque Français sommeille
un petit Zola récitant son catéchisme».
Dans une autre de
ses livraisons, il écrit : «La
France donne parfois l'impression d'être candidate à l'euthanasie.»
Sous-entendu : ce
pays est mortifère quand la vie est tellement plus belle, plus
douce, en d'autres contrées.
Regardez donc
comment ils font ailleurs. Prenez donc exemple sur les courageux
Allemands, les progressistes Britanniques, les doux Scandinaves...
Même l'industrie espagnole reprend du poil de la bête quand la
nôtre s'enfonce inexorablement...
Litanie francophobe
C'est un chœur où tous les interprètes ont leur propre partition.
Litanie francophobe
C'est un chœur où tous les interprètes ont leur propre partition.
Outre les deux
solistes susnommés, il y a les sopranos Alain Duhamel (sur RTL et
dans Libération, tendance consensus), Yves de Kerdrel (Valeurs
actuelles) et Yves Thréard (le Figaro, tendance droite libérale et
libérée) ; la voix de basse de Jean-Michel Aphatie, sans oublier
l'inévitable Alain Minc, l'inventeur de la «mondialisation
heureuse», capable d'interpréter cette litanie dans toutes les
tessitures.
De Johnny
Hallyday au rappeur Booba en passant par quelques stars du CAC 40,
sans oublier ceux qui ont leur rond de serviette sur les plateaux
télé, c'est à qui expliquera, exemples à l'appui, que le summum
de l'audace consiste à s'expatrier sous des cieux plus cléments et
que la France est un territoire perdu pour la modernité.
Alain Minc, l'homme qui murmurait à l'oreille de Sarkozy, en a récemment donné un exemple presque caricatural, lors de son échange avec Arnaud Montebourg, sur le plateau de l'émission «Des paroles et des actes». Ce soir-là, Alain Minc a expliqué grosso modo que tout ce qui se faisait en France était à jeter aux oubliettes, à commencer par le volontarisme d'Etat, et qu'il fallait absolument copier ce qui se faisait ailleurs, qu'il s'agisse des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne, de l'Allemagne, voire de l'Espagne, et pourquoi pas des îles Galapagos.
Alain Minc, l'homme qui murmurait à l'oreille de Sarkozy, en a récemment donné un exemple presque caricatural, lors de son échange avec Arnaud Montebourg, sur le plateau de l'émission «Des paroles et des actes». Ce soir-là, Alain Minc a expliqué grosso modo que tout ce qui se faisait en France était à jeter aux oubliettes, à commencer par le volontarisme d'Etat, et qu'il fallait absolument copier ce qui se faisait ailleurs, qu'il s'agisse des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne, de l'Allemagne, voire de l'Espagne, et pourquoi pas des îles Galapagos.
Ainsi est né un nouveau sport.
On pourrait
l'appeler le french bashing de l'intérieur, par référence à ce
dénigrement antifrançais qui avait fleuri de l'autre côté de
l'Atlantique lorsque Jacques Chirac, non sans un certain courage
politique, avait condamné fermement l'invasion américaine de
l'Irak.
A l'époque,
d'ailleurs, nombre des voix précédemment citées avaient pris la
réaction française avec des pincettes.
La liberté de
ton dont ils aiment se réclamer a en effet les limites de
l'atlantisme bon teint.
Critiquer la
Russie, dont on n'oublie jamais de rappeler le passé soviétique,
oui.
Décrire la Chine
comme le futur impérialisme dominant, pas de problème.
Mais critiquer
l'Amérique néoconservatrice tirant les conséquences guerrières
des théories fumeuses sur le «choc des civilisations», cela valait
illico presto accusation d'«antiaméricanisme».
A cette occasion, Jacques Chirac avait confirmé qu'il n'avait pas (totalement) oublié la tradition gaullienne et que la France avait encore quelque aptitude à faire entendre une voix singulière dans le concert des nations.
A cette occasion, Jacques Chirac avait confirmé qu'il n'avait pas (totalement) oublié la tradition gaullienne et que la France avait encore quelque aptitude à faire entendre une voix singulière dans le concert des nations.
Certes, le retour
de la France dans le commandement intégré de l'Otan, sous l'ère
sarkozyste, participe d'un processus de normalisation fort
regrettable.
Reste que la
France continue de bénéficier d'une aura internationale attestant
qu'elle n'a rien d'un nain politique.
Qu'importe :
aussitôt la guerre au Mali déclenchée - et saluée par la plupart
des commentateurs -, les mêmes se dépêchent d'expliquer que la
France est isolée, pour ne pas dire abandonnée par ses alliés.
Voilà la ritournelle en vogue.
Voilà la ritournelle en vogue.
La France a
toutes les tares. On en trouvera ici même quelques exemples les plus
criants.
Certains sont
excessifs, caricaturaux.
Ils sont
néanmoins représentatifs de ce qui se susurre dans les cercles
privés qui jouent le dénigrement permanent, comme si le roman
national lui était désormais insupportable et que l'avenir
s'écrivait ailleurs.
Certes, la
situation, économique, sociale, financière, est grave.
Une dette
himalayenne, des déficits publics abyssaux, un chômage de masse qui
menace de battre tous les records...
Faut-il pour
autant dénigrer notre pays à tout bout de champ ?
N'y a-t-il
pas, tout de même, quelques raisons d'en être fier ?
Pour
ceux-là, telle n'est pas la question.
De fil en
aiguille, tout est passé à la Moulinette : le gaullisme (cela va de
soi), l'esprit de la Résistance (à oublier), le Front populaire (à
vomir), et même la Révolution française, symbolisée par la nuit
du 4 août qui donne des cauchemars à Jean-François Copé (mais il
n'est pas le seul).
Un pays qui a des prétentions émancipatrices et des traditions rebelles, c'est forcément dangereux.
Un pays qui a des prétentions émancipatrices et des traditions rebelles, c'est forcément dangereux.
D'où cet
étalage de francophobie douteuse.
Alors que
notre pays est la cinquième puissance économique du monde, alors
qu'il reste la deuxième destination préférée des investissements
étrangers en Europe, alors qu'il dispose encore d'une certaine aura
internationale, un jeu de fléchettes est en vente dans les magasins
chic de l'élite avec le symbole national comme cible désignée.
La belle
démographie française ?
Jamais
évoquée.
Les salariés
français sont les plus productifs ?
On les traite
de feignants !
Les atouts
économiques de ce pays ?
Passés
par pertes et profits.
Rassurez-vous les Indignés, on ne sont pas des Bisounours ! Loin de nous l'idée de dire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes tricolores.
Rassurez-vous les Indignés, on ne sont pas des Bisounours ! Loin de nous l'idée de dire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes tricolores.
Chacun connaît
la situation désastreuse léguée par le sarkozysme flamboyant et
par une crise qui ouvre des plaies béantes dans l'ensemble du corps
industriel.
De ce point de
vue, on ne sera jamais assez sévère avec les politiques mises en
œuvre par la droite comme par la gauche depuis plus d'une trentaine
d'années.
Mais ceux qui,
aujourd'hui, jugent la France morte et enterrée sont les mêmes qui,
hier, ont encouragé les délocalisations, entonné l'hymne du
capitalisme financier et théorisé la désindustrialisation sous
prétexte que l'avenir était aux services.
Aujourd'hui, sans
l'esquisse de la moindre autocritique (pas le genre de la maison),
ils jouent la carte du catastrophisme pour prôner des
pseudo-réformes qui ne font qu'aggraver le mal.
En fait, les accros au néolibéralisme proposent d'en rajouter une couche Capitao-Libéralisme Débridé pour essayer de masquer les fissures dans les fondations.
En fait, les accros au néolibéralisme proposent d'en rajouter une couche Capitao-Libéralisme Débridé pour essayer de masquer les fissures dans les fondations.
Telle est la
véritable arrière-pensée du french bashing : réussir à briser ce
qui reste du modèle social à la française sous prétexte de copier
ailleurs non pas ce qui se fait de mieux, mais de pis.
L'originalité de ce modèle social, largement inspiré par le programme du Conseil national de la Résistance, a consisté à promouvoir le sens du collectif.
L'originalité de ce modèle social, largement inspiré par le programme du Conseil national de la Résistance, a consisté à promouvoir le sens du collectif.
Son atout maître
était un secteur public dynamique, dégagé de la recherche du
profit à court terme, destiné à construire un appareil économique
efficace.
On ne peut
comprendre la période des Trente Glorieuses sans prendre en compte
la dynamique enfantée par ces réformes nées d'un système de
mixité économique et sociale, daté certes, mais original.
Le public et le
privé se sont épaulés (non sans contradictions) pour permettre la
reconstruction, puis la modernisation de l'outil industriel.
Ce n'est pas par
hasard si, aujourd'hui encore, la France réalise ses principales
performances dans des secteurs comme l'aéronautique et le nucléaire.
La finance contre l'Etat social
Comme dans d'autres pays du Vieux Continent (notamment en Europe du Nord, mais aussi en Allemagne de l'Ouest), la puissance publique avait pour mission de réguler, d'organiser, de rationaliser et parfois de contrecarrer la pente naturelle du marché, dans les conditions spécifiques de l'époque.
Il s'agissait
d'une forme d'Etat social, doté de structures collectives de
protection des salariés, malgré des conditions de travail
difficiles.
Cet attelage baroque n'a pas résisté aux coups de boutoir successifs qui ont dégagé la place pour un nouveau capitalisme poussé par les grands vents de la financiarisation.
Cet attelage baroque n'a pas résisté aux coups de boutoir successifs qui ont dégagé la place pour un nouveau capitalisme poussé par les grands vents de la financiarisation.
Sous la
pression des gardiens du temple de l'orthodoxie financière que sont
les organismes internationaux chargés de faire appliquer à la
schlague les règles de la mondialisation néolibérale, le couple
diabolique dérégulation-privatisation a conduit à une série de
crises successives, dont celle déclenchée en 2008, d'une ampleur
inégalée depuis la grande dépression de 1929.
Pourtant, face à la déferlante qui balaie le monde occidental, la protection sociale, le système de retraite par répartition, l'indemnisation du chômage, la dépense publique pourraient être utilisés comme des amortisseurs face à la crise.
Pourtant, face à la déferlante qui balaie le monde occidental, la protection sociale, le système de retraite par répartition, l'indemnisation du chômage, la dépense publique pourraient être utilisés comme des amortisseurs face à la crise.
Or, ce sont ces
vestiges présumés d'une certaine époque que veulent enterrer les
tenants du modèle anglo-saxon pour faire entrer la France dans le
moule de l'économiquement correct, en cédant à la vague
dérégulatrice qui renverse tout sur son passage.
"The Economist" donne le ton
Voilà comment et pourquoi ces élites instruisent quotidiennement le procès de la France.
Voilà même
pourquoi ils jubilent quand ce procès est instruit par d'autres
qu'eux-mêmes.
Par The
Economist, par exemple, journal de référence de la pensée
dominante qui ose titrer à propos de la France : «La bombe à
retardement au cœur de l'Europe».
Vrai,
disent-ils. «La France dans le déni», vrai encore, répètent-ils.
Plus c'est
dur, plus c'est bon !
Et qu'importe
que les Etats-Unis soient plus endettés que la France.
Qu'importe que
la Grande-Bretagne vienne de perdre elle aussi son triple A.
Comment
remettre de l'ordre dans la maison quand la plupart des outils
structurels permettant un pilotage public de l'économie ont été
jetés par la fenêtre ?
Comment
instaurer une distribution sélective du crédit sans un pôle
bancaire public redéfini sur la base de nouvelles missions ?
Comment
redresser l'économie en restant enfermé dans les critères
dogmatiquement fixés par les apôtres européens de l'austérité
pour tous ?
Comment
espérer relancer le potentiel industriel et de recherche français
en faisant du «coût du travail» le problème numéro un sans poser
la question du coût du capital ?
Comment
échapper au diktat des marchés sans exiger de la Banque centrale
européenne qu'elle joue son rôle, comme le font les banques
centrales américaine et japonaise ?
Comment
prétendre gagner la bataille économique en flexibilisant encore
plus ?
Bref,
comment faire mieux en aggravant ce qui a été fait hier et qui a
conduit aux blocages d'aujourd'hui ?
Mais, pour les adeptes des modèles étrangers, ces questions-là n'ont pas à être posées.
Mais, pour les adeptes des modèles étrangers, ces questions-là n'ont pas à être posées.
Avec eux, toute
velléité de sortir des canons de la pensée correcte est un crime
contre l'esprit.
Nonobstant tous
les enseignements que l'on devrait retirer de la crise, ils exigent
plus de néolibéralisme, comme d'autres, à l'époque de l'URSS,
appelaient à plus de communisme pour sauver un système
fondamentalement pervers.
Voilà
pourquoi se répand une campagne sournoise, malsaine, permanente,
alimentée par une élite qui n'aime pas la France .
Merci
a MARIANNE de nous avoir écrit ce texte qu'on aurait du lire sous la
signature d'un de nos Tenor du PS
mercredi 13 mars 2013
Enfin une bonne nouvelle
Le Président va se voir contraint de légiférer «par ordonnances»
s'il veut tenir ses engagements de campagne.
François Hollande «a pris conscience des blocages importants dans notre société, de délais de prise de décision trop longs, des textes qui prennent énormément de temps de débat au Parlement, il est donc indispensable de raccourcir ces délais pour plus d’efficacité».
Il estime que «les ordonnances» sont «le seul moyen» d’y parvenir.
lundi 11 mars 2013
Un cadeau de SARKOSY
Pour ne pas s'être mis en règle avec la législation européenne !!!
Cela va nous coûter fort cher.
L'État français vient d'en faire l'amère expérience: il va devoir rembourser 4,2 milliards d'euros à des OPCVM (fonds) étrangers.
Soit l'équivalent d'une année de recettes d'ISF ancienne formule! Surtout, le contribuable est en droit de se demander si l'État aurait pu éviter une telle condamnation.
Dans un arrêt du 10 mai 2012, la Cour de justice de l'Union européenne a jugé que la législation française sur les OPCVM constituait une entrave à la libre circulation des capitaux pour une raison simple: les OPCVM étrangers sont taxés à 30 % sur les dividendes qu'ils perçoivent des sociétés françaises, tandis que les OPCVM français ne payent aucune taxe sur ces mêmes dividendes.
8 milliards à trouver pour boucler le budget 2013.
Au vu de ces alertes, Bercy aurait-il pu anticiper sur les OPCVM et changer la loi dès 2009?
À l'époque, le ministère savait que des fonds étrangers avaient saisi la justice française.
«Les premières plaintes datent de 2006, suite à un arrêt de la Cour européenne sur un autre régime fiscal qui laissait présager d'une ouverture pour les OPCVM» explique Stéphane Austry, avocat associé chez CMS Bureau Francis Lefebvre.
Si elle avait modifié sa législation en 2009, la France n'aurait pas eu à rembourser aux fonds étrangers les taxes qu'ils ont payées en 2010, 2011 et 2012.
Aujourd'hui, suite à la condamnation par la Cour européenne, les remboursements courent de 2004 à 2012. Et s'y ajoutent des intérêts de retard.
«Rien n'est jamais joué avant le verdict. Bercy croyait à ses arguments.
Il n'aurait pas été facile au gouvernement de justifier devant le Parlement un changement préventif» estime toutefois un avocat.
Reste une autre question: le précédent gouvernement n'aurait-il pas dû passer une provision dans les comptes de 2012?
«Sachant que le verdict allait tomber en 2012/13, il aurait dû le faire.
Le budget aurait alors été plus sincère» tempête-t-on à Bercy.
Quoi qu'il en soit, les 4,2 milliards seront remboursés au fil de l'eau.
dimanche 10 mars 2013
La France s'est perdue de vue depuis 10 ans,
les
gens n'osent plus entreprendre, déménager, agrandir leur maison,
changer de voiture, ouvrir un commerce.
Jl
Borloo
C'est très
facile à dire, lorsque vous êtes comptable du bilan , mais
entreprendre, déménager, agrandir sa maison, changer de voiture,
ouvrir un commerce nécessite des moyens financiers et de l'optimisme
que les gens n'ont plus, l'étât du capitalo-liberalisme que vous
soutenez depuis 30 ans n'incite pas à jouer ses dernières économies
dans un quelconque projet libéral!
ALLEMAGNE OPTIMISTE ET TRIOMPHANTE
Peut-il y en avoir plusieurs
en Europe ?
Dans cette Europe en crise profonde, l'Allemagne est le pays de l'Union qui s'en sort étonnamment trop bien.
Allemagne est optimiste, malgré la déconfiture des pouvoirs d'achat de ses prospects Italiens, Espagnols, Français, Portugais, Britanniques et Irlandais.
UE
La Commission européenne annonce que la zone euro serait en récession en 2013, alors que les principaux instituts allemands de conjoncture économique publiaient un indice sur le climat des affaires en forte hausse.
Qu'ils soient commerçants ou industriels, les 7 000 entrepreneurs allemands interrogés se montraient étonnamment optimistes pour les mois à venir.
Bien que la croissance ait été négative au dernier trimestre 2012 (- 0,6 %), chacun s'attend à ce qu'elle reparte vite.
Plus personne ou presque ne mise sur un nouveau recul de l'activité, qui aurait marqué l'entrée de l'Allemagne en récession.
Dernier indice en date, en janvier, les ventes de détail ont augmenté de 3,1 %, bien plus qu'attendu.
Au moment où les salariés de Peugeot-Citroën s'inquiètent pour leur avenir, leurs 100 000 collègues allemands de Volkswagen vont toucher une prime annuelle de 7 200 euros au titre de 2012.
Le pouvoir d'achat allemand va bien.
Les jeunes chômeurs Espagnols et Grecs arrivent à point pour sauver l'Allemagne de sa pénurie de main d’œuvre spécialisée pour assurer la poursuite de sa croissance.
Conséquence de ces phénomènes, son écart avec les pays du sud de l'Europe, y compris la France, devient un gouffre qui va engloutir tout le monde, car s'ils s'étaient restructurés comme l'Allemagne, celle-ci serait elle aussi florissante aujourd'hui ?
Une arrogance Allemande néfaste :
Les sorties du candidat social-démocrate à la chancellerie, Peer Steinbrück, à l'égard des Italiens sont on ne peut plus révélatrices.
En qualifiant Silvio Berlusconi et Beppe Grillo de "clowns", le rival de Mme Merkel pour les élections prévues à l'automne a fait preuve de grossièreté et de lègèreté ; il a surtout démontré qu'il n'avait aucune empathie pour les électeurs italiens, désemparés par la crise et les dictas Allemands que subissent leur pays et l'Europe.
Fiers de leurs succès, les Allemands, gauche et droite confondues, n'ont qu'une seule recette à apporter à leurs voisins : faites comme nous il y a dix ans.
Restructurez-vous, et vous redeviendrez compétitifs, oui bien sur au dépend de qui ?: y a t-il de la place pour plusieurs ALLEMAGNE actuellement dans le monde ?
Pour les Allemands, les difficultés des pays latins sont essentiellement dues à un manque de courage politique.
Les conservateurs font remarquer que dans cinq pays en crise (l'Irlande, l'Espagne, Chypre, le Portugal et la Grèce), la droite a d'ailleurs remplacé des gouvernements de gauche.
Les Allemands considèrent donc que les autres États sont dans un processus d'ajustement douloureux nécessaire , au risque de se retrouver avec un Peppe GRILLO dans chaque pays aux prochaine élections ?
Les propos de M. Steinbrück prouvent, que sa solidarité à l'égard des pays en crise reste limitée.
Ni la valeur de l'euro ni l'excédent commercial allemand ne font l'objet de débats.
Nul n'imagine que les six mois qui nous séparent des élections législatives soient propices à une réflexion iconoclaste sur le sujet, voire à un progrès de la solidarité avec les pays en crise.
Seul Wolfgang Schäuble, le ministre des finances a osé évoquer, début 2012, une très légère relance de l'inflation pour permettre aux pays du Sud de retrouver un peu de compétitivité.
Le président de la Bundesbank, Jens Weidmann a osé évoquer le spectre de l'hyperinflation de 1923, il a été immédiatement occulté pour ne pas ternir l'optimisme ambiant .
Le gouvernement Allemand est conscient du problème et souhaite relancer la consommation intérieure.
Ce n'est pas un hasard s'il diminue les cotisations retraites ou se déclare favorable à l'instauration d'un salaire minimal.
Mais en refusant d'envoyer un signal clair à ses partenaires européens, il prend le risque de se mettre l'Europe à dos.
Résultat : l'Allemagne devient impopulaire, y compris au-delà des cercles populistes, ce qui lui pose un vrai problème politique.
Au moment où la Grande-Bretagne tourne le dos à l'Europe et où l'Italie s'enfonce dans la crise, cette situation confie à la France un rôle central afin d'enrayer une contamination à l'Espagne et au Portugal.
Encore faut-il qu'elle parvienne à rester crédible auprès des deux parties.
D'après un texte de lemaitre@lemonde.fr
samedi 9 mars 2013
La LIBRE CIRCULATION d'un poison
Le tabac fait 30 000 MORTS
par an à la charge de la sécu !
COMPETIVITE des MALINS COQUINS,GREDINS du MEDEF
Le groupe tourangeau français TLD se fait violence !
Pour construire en France son nouveau tracteur malgré notre compétitivité désastreuse ?
Son premier client, Lufthansa aurait exigé que l'unité de production consacrée au TaxiBot s'installe en Allemagne.
C'était tentant avec des coûts de production inférieurs à ceux de la France, explique le directeur général, mais nous avons résisté pour que cette unité voit le jour en Touraine.
L'usine, basée à Orignal (Indre-et-Loire) ouvrira donc en 2014 avec la création d'une centaine d'emplois.
Grâce à la mutualisation des moyens des deux unités de TLD en Touraine et à une organisation proche de celle de l'industrie automobile avec des achats dans le monde entier de pièces qui sont assemblées à Sorigny, la production reste compétitive en France.
Cette organisation permet de ramener les coûts de main-d'œuvre à moins de 7% du prix de revient total des tracteurs.
« Mais ne nous voilons pas la face, insiste Valentin Schmitt, les charges de structure et de personnel pèsent encore trop lourd. »
Philanthrope ce brave M V SCHMITT !
Un groupe de R&D de 100 personnes a été constitué entre TLD, Airbus, IAI et l'anglais Ricardo pour élaborer l'engin.
Dans ce partenariat, IAI apporte donc son intelligence, Airbus son crédit d'image et TLD .
Et n' a obtenu qu'une exclusivité de production de dix ans, qui est le dindon de cette farce ?
D'après une information de La Tribune
LES DICTATS
-->
Le gouvernement français devant donner des gages à Bruxelles à la BCE et à Merkel, Ayrault impose encore plus d'économies à ses ministres.
Décréter d'économiser des milliards c'est facile, mais c'est inéluctablement une destruction d'emplois et une augmentation du chômage !
La grande inquiétude des industriels de l'armement, du BTP (ligne LGV, prisons, hôpitaux, routes), des services( experts comptables, avocats, conseils en management, publicité,etc)
jeudi 7 mars 2013
devrons nous,nous taper déçu
-->
- C'est 7% de plus qu'en 2011. Parmi ces
groupes recensés de 300 groupes paramilitaires (les milices),
un chiffre bien supérieur au précédent record de 1994, date à
laquelle une loi d'interdiction des armes d'assaut avait suscité
l'ire des radicaux.
- «Chaque proposition de contrôle des
armes par l'État s'accompagne d'une furieuse réaction, c'est
encore le cas avec l'administration Obama».
- Opposées à toute ingérence de
l'État fédéral, les milices «patriotes» seraient prêtes à
prendre les armes pour défendre leur droit d'en porter.
- «Ils pensent sans cesse que la Constitution est violée.
Ces groupes de haine, les choses vont empirer parce qu'ils croient mener « une bataille» pour leurs droit.
Ancien informateur du FBI, le spécialiste des milices radicales souligne que «la haine raciste de certains Américains envers la personne du président Obama a accompagné la multiplication des groupes extrémistes».
L'Histoire va-telle ce répéter: devrons nous, nous taper déçu pour calmer nos hystéries de barbares primaires?
Les « Ligues patriotes» extrémistes inquiètent aux États-Unis
Ils n'ont jamais été aussi nombreux. Elles sont 1360 groupes extrémistes ultra conservateurs, dits «patriotes» aux États-Unis, en 2012.
- Les états ont se quoi s'inquiètent:
«Six mois après avoir alerté l'opinion sur la montée de
l'extrémisme, en octobre 1994, une bombe explosait à Oklahoma
City», l'attentat le plus destructeur sur le sol américain,
jusqu'au 11 septembre 2001.
- «L'hystérie grandit», affirme le
FBI, déplorant que les déclarations anxiogènes du Tea Party et de
certains sites ultraconservateurs offrent un espace médiatique à
des groupes plus radicaux.
«Ils se sentent le dos au mur», résume Mark Potok. «Il est grand temps de prendre ce problème en main».
- D'autre études confirment les
observations de l'association indépendante.
- Une enquête récemment menée par
l'Académie militaire de West Point a souligné que la violence
d'extrême-droite des dix dernières années était quatre fois plus
importante que celle des années 1990. Même constat du côté du
Congrès américain, dont le Service de recherche a comptabilisé
une vingtaine d'actions d'extrémistes américains depuis 2001.
Encouragés par les échecs d'une économie atone, les militants extrémistes se retrouvent généralement autour d'une même haine des minorités ethniques, religieuses et sexuelles, qu'ils accusent de mener un vaste complot contre la nation.
Cette
montée en puissance des milices extrémistes anti-gouvernementales,
Racistes, surarmées est présente partout, elles menaceraient la
sécurité intérieure des Etats partout dans le monde.
Elle
est la conséquence de la crise économique et sociale qui nous
frappe, et que notre histoire répété hélas a chaque crise sans que
cela nous serve de leçon !!!
mardi 5 mars 2013
Un QI bien entamé
Hervé MORIN a
perdu une occasion de se taire à MOTS CROISES hier soir:
La grande
majorité des armées africaines, n'ont d'armée que l'uniforme !!!!
C'était
surtout la meilleur des solutions pour fédérer des armées qui
doivent nous remplacer pour reconstruire un futur au Mali !!!
Qui a formé
et équipé l'armée malienne ses 10 dernières années?
lundi 4 mars 2013
La France orange mécanique
C'est 200 viols par jour depuis la
nuit des temps!!!!(hors conflit)
Et pourquoi on ne dénonce que 1/7 de ces viols ?
Alors qu'avec la reine des preuves qu'est ADN le viol pourrait être éradiqué en un an.
Pour la bonne raison que :
- 74 % des viols sont commis par une personne connue de la victime ;
- 25 % des viols sont commis par un membre de la famille ;
- 1% des viol sont commis par des inconnus
- 57 % des viols sont commis sur des personnes mineures filles et garçons
et dans les conditions suivantes :
- 49 % des viols sont commis sans aucune violence physique ;
- 67 % des viols ont lieu au domicile de la victime;
- 45 % des viols sont commis de jour.
C'est 24 520 condamnations de prisonniers, de la prise en charge des familles des victimes et des proches de l'agresseur.
C'est la construction de 242 prisons, de centres médicaux sociaux de toute urgence c'est un budget 29 Milliards d'Euros à trouver .
vendredi 1 mars 2013
Vite un PARTI
-->
Prenons exemple sur nos voisins Italiens
Notre Mouvement
des INDIGNES
doit devenir un
Parti POLITIQUE
Pour combattre
et éradiquer
LE
CAPITALO-LIBERALISME DEBRIDE
et de la
CORRUPTION
de nos élites
politiques et financières
qui ruinent
notre
vieille EUROPE
Les Etats-Unis d'OBAMA a la diète !!!
-->
Faute d'accord sur la réduction du budget entre démocrates et républicains, des coupes automatiques de 85,3 milliards de dollars, vont commencer à entrer en application.
Avec une liste impressionnante de conséquences négatives potentielles, pour les Américains comme pour les touristes du monde entier qui se rendent aux Etats-Unis : du chômage technique pour des centaines de milliers d'Américains, notamment pour les civils qui travaillent pour le Pentagone, des horaires restreints pour l'accès aux parcs nationaux, des files d'attente plus longues aux aéroports par manque de personnel, à la fois aux contrôles de sécurité et dans les tours de contrôle, des aides à la recherche d'emploi suspendues, des intoxications alimentaires en hausse par manque d'inspecteurs sanitaires…
Aujourd'hui a lieu à Washington une réunion de la dernière chance : Barack Obama reçoit les leaders républicains et démocrates des deux Chambres, John Boehner et Mitch McConnell pour le G.O.P, Nancy Pelosi et Harry Reid pour les démocrates.
Mais cette réunion intervient singulièrement tard.
Pourquoi le président organise-t-il une réunion vendredi alors que le séquestre doit s'appliquer jeudi à minuit ? Soit il faut que quelqu'un achète un calendrier à la Maison-Blanche, soit c'est une plaisanterie. Les démocrates aurons au moins fait semblant d'essayer».
Le ton est donné.
Reste à voir quel sera le véritable impact du séquestre. Les démocrates ont, volontiers, aligné les prévisions sombres : une amputation de 0,6 % de la croissance pour 2013, c'est plus de 750.000 emplois menacés, à un moment où le chômage refuse obstinément de descendre sensiblement de la barre des 8 %, selon le bureau du budget du Congrès.
Le FMI a, lui, estimé, hier, que la croissance américaine pourrait être en 2013 inférieure de 0,5 % à ce qu'elle aurait été sans les coupes.
Il estime qu'il « y aura un impact sur la croissance mondiale. Les pays les plus affectés seront ceux qui ont les liens commerciaux les plus profonds avec les Etats-Unis ».
Le syndicat AFL-CIO a, poussé un coup de gueule, estimant que le séquestre allait toucher, en priorité, les Américains les moins bien payés et aurait un impact sur la consommation.
Ce qui préoccupe plus, désormais, les conjoncturistes, c'est l'approche d'une nouvelle échéance potentiellement plus dangereuse : le 27 mars. C'est à cette date que le texte provisoire sur lequel est basée l'exécution du budget, actuellement, expire. Il faut donc en voter un nouveau, et les républicains semblent vouloir partir sur une base minimaliste.
Une nouvelle bataille pourrait donc s'engager au cours du mois de mars.
Avec, dans l'éventualité d'un échec, un gel pur et simple de l'appareil fédéral.
L'Echec est là, voici les conséquences:
Ca y est, le « séquestre » est entré en vigueur, hier, à minuit.
Faute d'accord sur la réduction du budget entre démocrates et républicains, des coupes automatiques de 85,3 milliards de dollars, vont commencer à entrer en application.
Avec une liste impressionnante de conséquences négatives potentielles, pour les Américains comme pour les touristes du monde entier qui se rendent aux Etats-Unis : du chômage technique pour des centaines de milliers d'Américains, notamment pour les civils qui travaillent pour le Pentagone, des horaires restreints pour l'accès aux parcs nationaux, des files d'attente plus longues aux aéroports par manque de personnel, à la fois aux contrôles de sécurité et dans les tours de contrôle, des aides à la recherche d'emploi suspendues, des intoxications alimentaires en hausse par manque d'inspecteurs sanitaires…
Aujourd'hui a lieu à Washington une réunion de la dernière chance : Barack Obama reçoit les leaders républicains et démocrates des deux Chambres, John Boehner et Mitch McConnell pour le G.O.P, Nancy Pelosi et Harry Reid pour les démocrates.
Mais cette réunion intervient singulièrement tard.
Pourquoi le président organise-t-il une réunion vendredi alors que le séquestre doit s'appliquer jeudi à minuit ? Soit il faut que quelqu'un achète un calendrier à la Maison-Blanche, soit c'est une plaisanterie. Les démocrates aurons au moins fait semblant d'essayer».
Le ton est donné.
Reste à voir quel sera le véritable impact du séquestre. Les démocrates ont, volontiers, aligné les prévisions sombres : une amputation de 0,6 % de la croissance pour 2013, c'est plus de 750.000 emplois menacés, à un moment où le chômage refuse obstinément de descendre sensiblement de la barre des 8 %, selon le bureau du budget du Congrès.
Le FMI a, lui, estimé, hier, que la croissance américaine pourrait être en 2013 inférieure de 0,5 % à ce qu'elle aurait été sans les coupes.
Il estime qu'il « y aura un impact sur la croissance mondiale. Les pays les plus affectés seront ceux qui ont les liens commerciaux les plus profonds avec les Etats-Unis ».
Le syndicat AFL-CIO a, poussé un coup de gueule, estimant que le séquestre allait toucher, en priorité, les Américains les moins bien payés et aurait un impact sur la consommation.
Ce qui préoccupe plus, désormais, les conjoncturistes, c'est l'approche d'une nouvelle échéance potentiellement plus dangereuse : le 27 mars. C'est à cette date que le texte provisoire sur lequel est basée l'exécution du budget, actuellement, expire. Il faut donc en voter un nouveau, et les républicains semblent vouloir partir sur une base minimaliste.
Une nouvelle bataille pourrait donc s'engager au cours du mois de mars.
Avec, dans l'éventualité d'un échec, un gel pur et simple de l'appareil fédéral.
L'Echec est là, voici les conséquences:
La marine au ralenti.
Les 800.000 employés civils de la
défense devraient être mis au chômage partiel un jour
par semaine, soit une baisse de salaire de 20% à partir de fin
avril.
La Marine réduira le nombre de jours
en mer de ses navires de 30 à 35%.
Le déploiement d'un second
porte-avions dans le Golfe a déjà été annulé.
Et la maintenance des bases et
équipements militaires est déjà différée, forçant les
sous-traitants de la défense à licencier. Les militaires, en
revanche, ne subiront aucune baisse de salaire.
La justice durement touchée.
La justice durement touchée.
Près de 115 000 fonctionnaires du
ministère de la Justice ont reçu des notes officielles, envoyées
la semaine dernière mais rendues publiques vendredi.
Ils ont été informés de leur mise à
pied pendant «pas plus de 14 jours ouvrables», entre le 21 avril et
le 30 septembre.
Le FBI devra se serrer la ceinture.
Le FBI devra se serrer la ceinture.
Les agents de la police aux frontières
réduiront leurs heures pour l'équivalent de 5 000 temps pleins. Les
services de l'immigration ont déjà relâché des étrangers en
situation irrégulière qui avaient été arrêtés, en anticipation
des coupes budgétaires. Le FBI perdrait l'équivalent de 1 000
agents.
Des postes d'enseignants supprimés.
Des postes d'enseignants supprimés.
L'Etat fédéral devrait supprimer des
subventions dont dépendent environ 10 000 emplois de professeurs
dans le pays ainsi que 7 200 professeurs spécialisés pour les
enfants handicapés et d'autres personnels de l'éducation. Le
programme de scolarisation Head Start, destinés aux enfants pauvres
de moins de cinq ans, devrait être éliminé pour 70 000
enfants, provoquant la suppression de 14000 autres postes
d'enseignants.
De longues files d'attente dans les aéroports.
De longues files d'attente dans les aéroports.
L'administration de la sécurité des
transports (TSA) sera contrainte de mettre ses 50000 employés au
chômage partiel jusqu'à un jour par mois. L'attente moyenne des
passagers arrivant aux Etats-Unis pour passer les formalités
d'immigration dans les grands aéroports augmenterait de 30 à 50% en
moyenne, et pourrait dépasser 4 heures aux heures de pointe dans les
plus grands aéroports comme Newark et John F. Kennedy à New York,
Chicago et Los Angeles. Les contrôleurs aériens subiraient aussi du
chômage partiel, provoquant la fermeture de plus de 200 petits
aéroports, selon l'administration fédérale de l'aviation
(FAA).
La recherche à la diète.
La recherche à la diète.
Gel ou
annulation de projets de recherche; des centaines de subventions en
moins; retard des autorisations de mise sur le marché de
médicaments.
Des risques accrus de contamination alimentaire.
Des risques accrus de contamination alimentaire.
Les inspecteurs sanitaires vont
conduire moins d'inspections alimentaires. L'administration a prévenu
que les maladies liées aux contaminations pourraient être plus
nombreuses, citant les cas récents de salmonelle dans le beurre de cacahuètes et la présence de la bactérie Escherichia Coli dans
des épinards bio.
Des parcs fermés.
Des parcs fermés.
Un grand nombre des 398 parcs naturels
nationaux devraient être fermés partiellement ou
totalement.
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